1ER ACC DE SAINT HILL
Why Auditing Works
Après la découverte par L. Ron Hubbard des quatre facteurs nécessaires à n’importe quelle séance d’audition — l’aide, le contrôle, la communication et l’intérêt — une nouvelle ère de gains de cas commença, du début du Pont jusqu’au sommet. Connus sous le nom de quatuor mortel, ces facteurs fournissaient les moyens d’éliminer les barrières aux progrès de cas et un outil puissant de dissémination. Avant que l’intérêt ne puisse se manifester, les trois autres facteurs doivent être résolus, en particulier la plus grande aptitude de la race humaine et le point critique d’un être : l’aide. Après avoir démontré le quatuor mortel au cours du Congrès de Londres sur la dissémination et l’aide, L. Ron Hubbard fournit la technologie pour mettre un préclair sur la route avec des pré-séances — procédés et procédures pour mettre n’importe qui en séance — désirant être aidé, sous le contrôle d’un auditeur, étant en communication et intéressé à son propre cas. De plus, voici les premières déclarations exhaustives de L. Ron Hubbard sur la présence et l’altitude de l’auditeur — facteurs essentiels grâce auxquels un auditeur amène le préclair à confronter son cas, faisant du même coup de la plus vieille maxime de l’audition une réalité concrète : l’auditeur plus le préclair sont supérieurs au mental réactif du préclair. C’est le seul ACC de L. Ron Hubbard à Saint Hill, et c’est là qu’il a codifié l’audition moderne. C’est par conséquent son premier ACC destiné à tous les auditeurs.
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Le programme numéro un pour le Royaume-Uni commence à 7 h 30 demain matin au Charing Cross-Embankment Underground d’où le bus part pour Saint Hill. C’est là que le programme commence. L. Ron Hubbard
Ce programme, tel qu’il avait été annoncé aux participants du Congrès de Londres sur la dissémination et l’aide allait s’étendre sur les quatre prochaines semaines et comprendre quelque vingt-cinq conférences de L. Ron Hubbard. De plus, ce programme allait marquer dans l’histoire de la Scientologie le tout début d’une nouvelle ère de gains de cas — depuis le bas du Pont.
Tout commença avec la découverte par L. Ron Hubbard au début de l’année 1960 des quatre facteurs nécessaires pour toute séance d’audition. Spécifiquement, il s’agit là de facteurs qui, s’ils sont omis, empêchent toute séance d’avoir lieu. En fait, il s’agissait des éléments qui définissent le terme « en-séance », le tout avec une application pratique jamais atteinte auparavant. Ces facteurs — l’aide, le contrôle, la communication et l’intérêt — étaient bientôt familièrement connus sous le nom du « Quatuor mortel » par les auditeurs de Saint Hill en vertu de leur impact révélateur sur les obstacles à l’avancée des cas.
En fait, ces facteurs étaient si omniprésents qu’ils s’attaquaient et résolvaient les raisons pour lesquelles une personne qui n’avait jamais entendu parlé de Scientologie n’était pas en-séance, apportant ainsi un outil nouveau et puissant de dissémination.
C’est ainsi que le 8 août, le bus transportant les étudiants qui allaient être à l’avant-garde de cette nouvelle ère arriva à Saint Hill. Au cours du mois suivant, ils allaient écouter des conférences dont l’étendue était fantastique. Ce sont là en fait les premières déclarations exhaustives de L. Ron Hubbard sur la présence et l’altitude de l’auditeur — des facteurs essentiels grâce auxquels un auditeur amène le préclair à confronter son cas, faisant du même coup de la plus vieille maxime d’audition une réalité concrète : l’auditeur plus le pc sont plus forts que le mental réactif.
Nous trouvons la aussi la technologie complète des Pré-séances : les procédés et les procédures pour mettre n’importe qui en séance — c’est-à-dire disposé à être aidé, sous le contrôle d’un auditeur, prêt à communiquer et intéressé par son propre cas. Durant le même temps, L. Ron Hubbard parla de cette donnée primordiale : l’aptitude à aider comme étant la plus grande des aptitudes humaines. Et également la puissance destructrice des propres échecs de l’être dans le domaine de l’aide.
Et comme si cela ne suffisait pas, L. Ron Hubbard détailla toute une série d’autres données fondamentales :
- Les conditions requises pour les auditeurs — pourquoi on ne doit pas seulement savoir comment auditer une procédure mécanique, mais également comprendre ce qui se passe dans une séance ;
- La compétence en audition — la facilité avec laquelle on s’occupe du préclair en l’auditant et l’aptitude à le faire sans accrocs déterminent directement le degré de concentration qu’il peut placer sur son propre cas ;
- L’aide — pourquoi il s’agit là de la plus grande aptitude de la race humaine ;
- Les échecs dans le domaine de l’aide — pourquoi il s’agit là de l’histoire principale et de la base même du cas d’un pc ;
- L’avoir — les raisons pour lesquelles on ouvre un cas avec l’avoir, la différence entre l’avoir subjectif et l’avoir objectif et pourquoi l’avoir objectif change le profil d’un cas ou le prépare ;
- Le fait de calquer ce que fait le mental — ce que c’est et comment cela est fait en audition ;
- La vérification de sécurité — la théorie sous-jacente de la raison pour laquelle elle est utilisée afin de mettre le cas du préclair en état ;
- L’assessement — si un terminal est précisément évalué, il fera monter et descendre le tone-arm avec l’audition. Pas de changement du tone-arm signifie que l’auditeur n’est pas en train d’auditer le bon terminal ;
- La confiance en l’auditeur — plus le pc a confiance en l’auditeur, plus les montées et les descentes du tone-arm seront importantes ;
- La détermination par autrui — le mécanisme le plus élémentaire de l’audition est que le simple fait que l’auditeur soit assis là procure une détermination par autrui qui tend à effacer certaines déterminations par autrui du mental réactif. L’auditeur pourrait faire les mouvements de l’audition sans auditer le moindre procédé et quelque chose arriverait tout de même au cas ;
- la fission atomique — la seule raison pour laquelle une personne a peur de la fission atomique est qu’elle engendre une quantité de mouvement incroyable ;
- le mouvement — pourquoi, quand un procédé de mouvement est effectué, les retenues commencent à partir.
Enfin, et pour couronner le tout, L. Ron Hubbard présenta la Théorie 67, une percée sur les sixième et septième dynamiques fournissant de nouvelles perspectives sur l’état d’être, l’avoir et la raison pour laquelle un thétan s’introvertit dans l’univers mest.
Voici donc l’aube de ce que L. Ron Hubbard a appelé « l’âge supersonique de la Scientologie », cet événement historique, le 1er cours d’instruction clinique avancée de Saint Hill.